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L’anthropocène à la vitesse du numérique


J'ai contribué à une étude au sein de mon cabinet autour de la thématique du bon usage de la donnée, et plus particulierement sur l'enjeu de l'écologie de la donnée. Cette étude est disponible par butinage sur le blog Demain d'infhotep.

Et si le fameux "Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme" n'était plus de mise à l'ère de l'antropocène ?
Peut-on continuer à produire en puisant dans les ressources naturelles sans limites ? Notre monde la Terre est un écosystème fini, régi par des équilibres. Or l’écologie de la donnée avec ses dimensions tangibles (le hardware qui encapsule le software et son fuel la data) semble obéir à un principe inéluctable de la planète comme ressource infinie.
 Nous devons tenir compte que l’écosystème de la donnée s'imbrique dans un écosystème plus large, l’écosystème de la Terre, que ce qui fait écologie est ce qui interagit avec son environnement immédiat. Nous ne pouvons plus maintenir l’écosystème de la donnée  et ses usages sans prendre la mesure des impacts.

Si ce questionnement vous intéresse, c'est par ici.









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