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Articles

Affichage des articles du février, 2014

Ville monde et marque habitante.

source : Kika creation   Je réagis suite à l'analyse révélatrice de Benjamin Adler dans INFluencia:  Après le flagship store pour une marque, bienvenue dans la " flagcity " ! Des marques aux USA s'emparent de la ville et la modèlent comme un "tout brandé" à destination de leur communauté de marque, pour tenter d'avoir la main mise sur l'ensemble de la cité et maîtriser l'enjeu de la captation des données par la distillation des capteurs dans la ville "intelligente". Et du coup, proposer des expériences empathiques pour leurs fans, considérés comme une audience habitante , soit-disant quasiment acquise puisque bénéficiant d'un "High Customer affinity". Une sorte de ville media, un "ghetto de marque bisounours", une destination de masse vendant l'expérience totale à la marque. Je force un peu le trait, certes, mais cette vision la me turlupine. Au fond, cette vision de "flagcity" interroge

balises BLE : l'intrusivité maitrisée comme experience-shopping en magasin ?

la liste de souhaits du shopper qui s' interface à l'écosystème ibeacon des enseignes, rêve d'un marketeux ? Voici une infographie comparative publiée sur  retailcustomerexperience.com  qui met clairement en lumière les différences entre les technologies Bluetooth Low Energy ( BLE) et la technologie Near Field Communication (NFC) en décrivant leurs spécificités d'usage, en point de vente notamment. + click to enlarge image Je tique un peu sur le caractère intrusif évoqué à propos du BLE. A mes yeux, on peut clairement atténuer cette intrusivité dans la mesure où le shopper aura pu autoriser le système à sa reconnaissance in situ . L'usage du BLE pour remplir sa promesse de complicité doit intégrer dans la scénario d'expérience shopping deux conditions de "permission marketing". D'une part, le système doit en effet permettre au shopper de donner son aval pour être identifié et reconnu in situ . Et d'autre part, le shopper doit auto